Dany Leprince et son assoce qui part en quenouille

Publié le par news-affaire-dany-leprince.over-blog.fr

- Affaire Dany Leprince et tirs en salves rouges contre "les trois démissionnaires" du bureau de son association.

 

Par Roland Agret.

 

Cela donne à peu prés ça sur leur interprout :

 

« C’est quoi qui le quiqui du coco de Dany qui a dit quoi au Cloclo du quiqui ? Que le quiqui du coco à Dany était qui ? Un petit zizi qui a dit que nenni, que sa meuf était bien jolie, mais c’est qui qu’a dit, via le Cloclo du coco qui a dit que c'était caca ? Mais dames, on bouse ou pas en ce jour si propice ? Panache blanc du Cloclo en vue ? Mes donzelles du blog amis, allons y défendre le quiqui qui a dit et pourfendons les vilains zoiseaux qui ont dit que, c’est Cloclo qui l’a dit, que la quéquette du coco n’était pas un petit zizi et que puisque c’est Cloclo qui l’a dit, alors c’est bien dit ! »

 

Mythomania ambiante dans ce qui reste de soutiens à Dany Leprince

 

 Il y en a un vachement beau, harnaché de poudre de perlinpinpin, tout vêtu de fatuité très rase motte, qui se prend pour le phénix des « hôtes toi de là ! ».

A l’en croire sur les mails qu’il m’a adressé à une époque récente, il survivrait de subsides sociales et ramerait sec avec quelques 420 euros mensuels. En plus, selon lui, un môme à élever…

Être ingénieur brillantissime, écrivain qui se reconnaît même s’il n’est pas connu et se retrouver paillasse, ça prouve que notre société n’est pas reconnaissante avec ses élites ! Merde alors !

 

Mais ce pauvriste mal aimé a plus d’une corde à son string !

Sachant qu’un manque de capacité intellectuelle et un mal vivre peut se combler par une frime outrancière, au royaume des nulâbres d’interprout, on devient vite le chef de file qui enfile…Tout ce qu’il peut enfiler.

Ainsi, il a brillamment gagné ses galons de « Grand bousier »…

 

Dans son sillage, quelques magnifiques bousières se distinguent par leur voracité du verbe combinant parfaitement leur garde à vous avec le gare à toi si tu touches au picrate du bordelais.

Et en chorus : Vas y Clodo ! Le celui qui est leur chef.

 

  Et puis il y a l’autre qui se prend pour PPDA ;

 

« Grand reporter pour charabia niveau CM2 » sur un machin bidon qui publie tout, surtout n’importe quoi et n’importe qui.

Au moins, avec ce qu’il a pris dans les miches, viré comme un trou de balles par « ses amis », il n’est pas rancunier.

Pire, il joue au mange boules ! Au double, au triple jeu ! Il veut son morcif d’histoire le bougre !

Et il n’hésite pas à jouer au moraliste alors que sa propre morale lui tombe sur les chevilles, comme un froc sans ceinture.

Il joue de l’insulte envers « les démissionnaires » qui ont osé en parler à la presse ! Ah les cons ! Peuvent pas souffrir en silence ?

C’est vrai que lui, lors de son piteux départ, largué bien intense, il a bien tenté d’alerter, en vain…

De lui aussi je garde des mails bien délicieux. Mais de quel lui ? Parce qu’il n’est pas tout seul ! Ses bords sont larges !

 

Et puis il y a les autres, des méchants comme des teignes, qui viennent poser le bonjour, il fait beau mais pas chaud.

Le radeau de la merduse qui branle le combat, le petit doigt sur la couture du futal.

En somme et en conclusion, tous ceux qui ont ramassé des tombereaux de merde au point de se mettre en cavale du bourbier, sont de gros vilains pour avoir dénoncé les attitudes sans équivoques de l’impératrice des châteaux Margots et de l’empereur du bois dormant…

 

Voilà un bel équipage de soutien inconditionnel qui ne va pas s’en laisser conter par devant la Cour d’Assises.

C’est sûr !

 

 

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